Je suis assise face à mon miroir. Je me contemple toute en refaisant mon maquillage. Je voulais être tranquille. Entendre mes filles prendre du plaisir et les hommes aussi étaient pour moi une musique à mes oreilles. Je m’était nourrie ce matin avec un pauvre et vieux monsieur qui en n’avais sans doute plus pour très longtemps, enfin en passant entre mes griffe c’est sur que la mort étais proche. Je ris à mes propres mots. Je me trouvais donc dans ma chambre, j’avais les plus belle des chambre, la lus grande et sans doute la mieux décorer.
Il y trônes au milieu de la pièce un magnifique lit baldaquin ou je commettais tout mes meurtre et dans les quelle je prenait du plaisir. Une simple caresse mettait n’importe quelle homme à ma merci. Un simple murmure et il m’appartenait corps et âme. J’en jouet et j’adorais ça. A coter de ce merveilleux lit ce trouve une table ou est poser tout type d’objet dont les hommes aime ce servir. Toute y est des menottes au fouet.
Ils devaient bien prendre du plaisir avant de sombrer dans les ténèbre. J’avais aussi un énorme dressing ou toute les tenue possible et inimaginable pour monsieur si trouvais. Les souhait ou fantasme de monsieur ce réalisais, encore et encore jusqu'à en crever.
Je suis la patronne celle qui dirige et je déteste être déranger quand je suis seule ou même en compagnie. Moi seule choisie quand je travaille et quand je sors de ma chambre.
J’adorais aussi mes filles. Mes putains, je les adore, elle sont belle et m’esquine est elle m’adore aussi tout ce quelle veulent elle l’obtienne. Je suis LA succube original personne ne peut me dompter ou me faire marcher au pas.

Après avoir finie ma remise en beauté je me lève et enfile un petit corset très petit qui avais l’aire ridicule, on voyant mon nombril et ma volumineuse poitrine en sortais presque ou pouvais voire la petite auréole de mes tétons. Je mets un string rouge assorti au corset avec un porte jar tel noir en dentelle. Des bas noir aussi en dentelle de quoi faire pâlir tout les cul serrer de Tokyo et de quoi faire tomber tout les homme. Je suis la plus belle et je le sais, mais tout le monde le sait. Je mets mes escarpins noirs et sort de ma chambre ainsi vêtue. Tout les regard ce pose sur moi, mais le mien se pose sur le tien, c’est toi que je voulais, toi l’homme mystérieux, toi l’homme au visage plein d’envie.

Je me dirige vers toi et te tend ma main.

- Je suis April, maîtresse de ce lieu de luxure, bienvenue a toi l’étranger, je serais ton hôte pour aujourd’hui.

Je ne sais que faire de ma foutue journée. Mes victimes sont près de moi, leur cadavre mêlant leur odeur au bruit des ailes des mouches qui volent autour d'eux, dans cette ruelle sombre. Je jette un dernier coup d'oeil à ce vampire du moins ce qu'il en reste avant de reprendre mes pas. Tuer, encore tuer. Passer ma vie à ça. Ou es-tu, Norman ? Es-tu encore de ce monde ? Je n'en peux plus de penser sans arrêt à mon frère disparu, il faut que je me change un peu les idées, que j'arrête le temps d'une nuit mes recherches. Je le retrouverai, je lui en ai fait la promesse. Mais pour mener ma tâche à bien il me faut des forces, il faut que je les reprenne, il faut que j'aère un peu mon esprit.
Et pour ça, rien ne vaut la présence d'une sublime femme. Après tout, je suis un homme ! Mes pas me mènent à la porte à ce que je crois être un bordel. Je vérifie mes poches, j'ai encore un peu de monnaie prise sur les cadavres pourrissant dans la rue. J'espère juste que j'aurai assez pour une pute assez convenable. Pas une pute de luxe non plus. Quand on mène mon train de vie, on ne peut se permettre de se payer ce plaisir. Mais juste une petite pute assez bien pour tenir une nuit entière.

J'entre dans cet endroit et y découvre beaucoup de jeunes femmes, certaines penchées sur de pauvres âmes innocentes. Je vois à certains visages que pas mal d'hommes ne sont pas habitués à ce genre d'endroit, tout gênés, leurs chemises humidifiées par leur stress. Moi, dans mon débardeur vert abîmé par mes nuits de chasseur, je ne ressens rien de tel. D'un naturel méfiant, je garde l'une de mes mains près de ma taille, là où est caché mon couteau de chasse.

Et c'est en observant la salle que je la vois. Un corset, tout d'abord, extrêmement court qui laisse entrevoir quelques bouts de peau qui pourrait faire pâlir davantage un mort vivant. Je la regarde, ne bougeant pas d'un centimètre, ma main restée à la même place. Elle se dirige vers moi, et me tend la main.

- Je suis April, maîtresse de ce lieu de luxure, bienvenue a toi l’étranger, je serais ton hôte pour aujourd’hui.

Je la regarde, de haut en bas, ne montrant aucune gêne dans mon regard mais un peu de méfiance. Aussi belle soit-elle, je suis d'un naturel à toujours rester sur mes gardes.

- Michael. Sauf si tu préfères continuer à m'appeler l'étranger. Comme tu veux. Si tu préfères baiser des gars sans identité, c'est ton problème. Si tu es mon hôte, alors mène moi à ta chambre, je ne veux pas perdre mon temps à des banalités. Je ne souhaite pas gaspiller mon fric pour une discussion. Je veux juste te prendre et partir dès le lever du jour, j'ai d'autres choses à faire. Alors, ta chambre, elle est où ?

Je te regard et fronce les sourcil mais je ne dit rien. Je te regard de travers et attrape ta main pour te guider vers celle-ci ans dire un mot. Tu sens une odeur atroce et je sais que tu n’es pas un simple humain. Je sais aussi qu’avec le contacte de ta main dans la mienne tu est dorénavant a ma merci. Je peux faire ce que tu veux de toi et j’en suis fière. Je déteste que l’on me parle comme une simple catin. Personne ne sais ce qui mes arriver avant. Mon passer est ma torture et personne ne peut me torturer dorénavant. Donc tu vas m’obéir sans dire mot et on va s’amuser comme ça. Et qui sais peut être que quand tu sentiras meilleur je te laisserais repartir…
Nous entrons dans ma chambre et je me retourne pour te regarder. Je ferme la porte et te plaque contre celle-ci.

-Alors pour commencer très chère tu vas aller te laver car tu sens horriblement mauvais. Je ne sais pas ou tu à traîner mais c’est atroce. Et par la suite tu vas être polie et courtois envers moi. Ce n’est pas parce que tu à l’habitude de venir dans des maisons closes que tu dois nous parler comme de la merde. Je suis une personne avec une âme et non pas une fille qui ce force ! Respecte moi et je ne te tuerais pas. Ne me respecte pas et tu sera mon quatre heure. Comprit ?

Je rapproche mon visage tu tiens et frôle juste tes lèvres des mienne et y fais passer mon souffle envoûteur. Une sorte de petite fumer rose très claire que tu inhales. Tu vas devenir fou de moi pour cette nuit et tu n’en voudras pas une autre. Tu oublieras jusqu'à même ta propre famille.

-Tu es passer devant tout ce qui attendais car je tes choisie. Je ne te ferais pas payer mes services car j’ai envie de toi. Mais avoir une petite discutions peut être sympa par foi. Que désir tu ? Comment doit-je m’habille pour te faire plaisir ? Quelle genre de sexe veux tu ? Brutal ? Doux ? Sensuelle ? Toi qui domine ? Ou moi qui fais ce qui me plait ? Dit moi je suis a toi cette nuit et toute celle ou tu reviendra.

Je te guide a la salle de bain et je commence a déboutonner doucement ta chemise caressant chaque parcelle de peau que je dégage de ce tissue crasseux. Tu avais la peau blanche mais sale de sang. Je comprends très vite que tu es un chasseur mais je n’ai pas peur car tu es sous mon charme. Je la retire ta chemise et la jets dans les tubes pour qu’elle parte à la laverie. Et j’embrasse ton torse de mes lèvres pleines de plaisir et remonte a ton coup.

-Veux tu que je continue a te déshabiller ? Ou bien que je penne la douche avec toi ? Mais dans c’est cas la c’est a toi de me déshabiller.

Je te regard avec envie. Les étranger comme toi son si beau et mystérieux. J’ai envie de toi mais j’ai aussi envie de te connaître. Qui sais j’ai peut être la réponse a certaine de tes question.

Elle croit que c'est en m'humiliant ou bien en me menaçant que je vais avoir peur d'elle ? Ce n'est qu'une putain que je paie pour que je puisse la baiser, rien de plus. Si elle croit que je peux ressentir autre chose que de la haine, elle se trompe lourdement ! Je m'approche d'elle et la suit jusqu' à sa chambre.

Subitement elle me plaque contre sa porte, me dit certaines phrases que mon cerveau ne peut enregistrer, à cause de l'arrivée d'un nuage rose entrant doucement en moi. Je ne sais ce que je ressens en cet instant. Si ce n'est une sorte de transe. Un amour indéfinissable envers cette femme en face de moi, et une envie d'elle folle et dévastatrice.

Elle me retire mon haut, le balance à laver, et m'indique qu'il faudrait que je prenne une douche. Si elle savait a quel point je me moque de l'odeur que je peux avoir là de suite ... Je ne la veux qu'elle. A en mourir. Elle embrasse mon torse et remonte vers moi. Elle me demande de sa voix si perturbante ce que je souhaite. Comme happé par un désir inavoué, je la plaque contre le mur de cete pièce et colle mon torse contre elle. Je veux sentir chaque parcelle de sa peau, je veux avoir son odeur contre ma peau, je ne souhaite que l'on ne fasse plus qu'un. J'enfonce mon visage au creux de son cou et l'embrasse en passant l'une de mes mains dans ses cheveux pendant que mon autre s'occupe à retirer mon pantalon. Ce sera une nuit unique, avec une femme unique.

Je suis surprise par ta fouge je ne pensai spas que ça viendrais aussi vite. Mais j’adore ça. Tu vas devenir plus docile maintenant et tu feras ce que je voudrais.
Ta main dans mes cheveux et tes lèvres laisse des petit marque dans mon cou j’adore ça et je pourrais presque chavirer. Je te veux aussi mais l’odeur que tu refoules est atroce. Une foi ton pantalon sur les chevilles je te fais reculer doucement jusque sous la douche les jets s’allume automatiquement des qu’il y a un mouvement et je m’occupe de retirer ton boxer presque trop serrer pour ce qui si cache je te le retire et te mets sous l’eau je garde les pauvre bout de tissue qu’il me reste.
Je t’embrasse avec envie je ne voulais que ton corps, je ne voulais que toi. Je caresse ton torse, ta nuque ton cou, que je parsème de baiser a la foi.
Cette nuit je veux que tu m’aime juste pour une nuit je veux me sentir aimer par une personne qui pourrais être mon style d’homme.

Dégoutee par mon odeur, elle me jette sous la douche, ce qui ne me gêne pas au contraire. Vu les aléas de ma vie, je ne vais pas dire non contre le fait de passer sous de l'eau chaude quelques instants. Ma vie ne me laisse pas le plaisir de pouvoir le faire. Elle me rejoint vite sous les jets d'eau après m'être débarrassé de mon boxer qu'il me tardait de retirer. Son sourire, sa peau, ses soupirs éperdus de désir ... Tout mon corps, tout mon être veut être offert à cette sublime femme.
Ses baisers, ses caresses ... Elle me rend fou. La plupart des femmes me font cet effet, mais là, c'est différent. Je suis à elle corps et âme. Il n'y a pas à hésiter, c'est elle et pas une autre.

Non, je ne dis aps que je suis amoureux, loin de là. Juste qu'il y a une attraction, une sensation qu'elle seul a pu me faire ressentir à ce moment. Et je pense que ce sera la seule. Je passe ma main derrière sa nuque et ramène son visage vers le mien avec une grande douceur. Mes mains caressent son dos nu, humidifié par les gouttes d'eau tombant sur nos corps quasiment nus, en abondance. Cette nuit sera t-elle la dernière ? Retournera t-elle à ses activités comme si cette nuit ne s'était jamais passée ? Je ne souhaite pas être vu dans ses yeux comme l'un de ses clients. Je ne la considère pas comme ça, moi ...

Je te considère come un client. C’est vrais, je ne peut pas ne pas le faire nous nous connaissons pas. J’apprends ton corps pour la première foi… ET si subitement la faim me prenais et que ton âme m’appel et que je te la prenne. Tu serais inerte dans mes bras alors que je ne veux vraiment pas ça.
Je prend du savon en mets dans mes mains et caresse ton corps avec, tout ton corps sans même oublier une parcelle. Les bulles ce forme par tout et j’embrasse tes lèves gonflées désire et d’envie. Je voix dans tes yeux que tu veux plus. Tu voudrais que je soit tienne pour toujours, je pourrais te faire roi des succubes mais ce n’est pas comme ça que ça marche.
Je préfère caresser, embrasser, palper, sucer, baiser. Je suis née pour ça et j’adore ça.

- je te veux !

Je sens son savon sur mon corps pendant que l'eau me tombe dessus. Sentir de l'eau chaud est tellement agréable. Cela m'arrive si peu de fois, avec ma vie de chasseur solitaire. Egalement de pouvoir toucher une femme. Ce plaisir ne m'est que très rarement apporté. Surtout une femme comme April. Je sais que ce ne sera que notre seule nuit et je le regrette déja. Je me recule de son étreinte.

Je me dirige vers un bord de la chambre, pensif, remettant mon boxer.
Je me pose devant une fenêtre, regardant le paysage.

" April ... Je refuse d'être un client. Je ne veux pas te payer, te baiser et t'oublier par la suite. TU m'as aidé pour mon frère, tu es superbe, et intriguante. Je veux te connaître en tant que femme, pas objet de plaisir... Si ça ne te va pas, alors je passe cette porte, et tu ne me revois jamais. Crois moi, je suis expert pour ce qui est de disparaître. Je dois le tenir de mon frère ... Hum, bref. Quoi qu'il en soit, je refuse de juste te baiser, partir et t'oublier. "

Je t’écoute avec intérêt. Tu me proposer un genre « d’amitié » mais je n’est pas l’habitude ? Et si je m’attache ? Et si tu me promets des choses que tu ne tiens pas ? Et si tu t’en vas ? Je devrais encore détester une personne de plus dans ce monde. J’ai étés temps de foi dessus… Pourrais-je encore faire confiance ? A un humain ? Pourrais-je me retenir de le tuer ? C’est si compliquer… L’embrasser et sentir son âme au bord de ces lèvres me donne tellement envie…
Je suis toujours nue, mais je suis venue près de toi. Mon corps ruisselle de petite gouttelette qui ce reflète grâce a la lumière on pourrais croire que je brille comme un ange. Je viens devant toi et prend une de tes mains. Le contacte est important pour moi, mais je n’utilise pas mes pouvoir pour te contrôler c’est juste un contact banale…

- Merci pour les compliments… Tu es super aussi. Je te retrouverais… Je fini toujours pas retrouver ce que je veux… tu ne veux pas me payer et bien ne me paye pas… tu ne veux pas m’oublier et bien… soit ne m’oublie pas et je ne t’oublierais pas non plus. Tu ne veux pas partir alors reste au près de moi…

A cette phrase je me colle a ton torse mouillant ton boxer sans réellement le faire exprès.

- Je t’aiderais a trouver ton frère j’en fais une promesse… Je demanderais l’aide de mes contacts… Sorcière, Loups…. Je ferais mon possible. Mais il faux que tu el sache… En tant que succube original j’ai des besoins plus forts que les autres… J’ai besoin de coucher et j’ai sur tout besoin d’homme pour me nourrie. Je ne peu pas me nourrir de toi car perdre un bout de son âme c’est irrémédiable… et je ne voudrais pas que tu deviennes fou… Serais tu capable de répondre a tout mes désire sexuel ? Et serais tu capable d’accepter que d’autre personne pose la main sur moi ?

Je te regard attendant une réponse. Me mot les lèvres de peur que tu me repousse a cause de ma nature je suis si… répugnante…

Elle arrive près de moi, nue, ruisselante, brillante, toujours aussi magnifique. Je ne sais quoi faire avec elle. J'ai peur de cette chaleur qui me vient au bas ventre lorsqu'elle s'approche. J'ai peur de cebonheur qui vient en moi lorsqu'elle me sourit, j'ai peur de ne vouloir qu'elle, de cette envie , de ce besoin de sa présence près de moi au quotidien. Que m'arrive t-il ? je ne comprends plus. Que me fait-elle ? J'ai l'impression que mon coeur bat de nouveau, je le sens de nouveau battre. Je ne comprends pas ? Je suis perdu, j'ai peur de moi même, de ce que mon coeur ressent. De cette chaleur, de ce bonheur naissant. je ne sais quoi en penser.

Cela m'était arrivé une seule fois à l'époque où mon frère n'était pas qu'un simple fantôme. Cette fille aux cheveux longs, de la couleur du soleil, aussi brillants que les étoiles. Ce sourire d'ange s'affichait sur son visage. Elle me portait le même le jour de sa mort. Elle voulait me rassurer que tout allait bien aller alors qu'elle se vidait de son sang ... Mon coeur s'était refermé. Pour toujours, je le pensais. Mais là, que se passe t-il ? Il se remet à battre aussi fort. J'ai peur ...

Ce qu'elle me demande m'étonne. Bien sûr que je n'aimerais pas ça. Bien sûr que j'adorerais étriper chaque personne qui la touche de près ou de loin. Bien sûr que j'aimerais voir leur tête en haut d'une pique. Cette rage qui vient en moi lorsque j'imagine d'autres hommes la toucher m'est totalement inconnue. Est-ce ce que l'on appelle la jalousie ? Mais tout ce que je trouve à lui répondre est :

- Je vivrai avec, il n'y a aps de soucis. Du moment que tu ne partes pas de ma vie. Car au fond de moi, je sens que si tu partais, ce serait la pire douleur que l'on puisse me faire ...

J'attrape ses mains dans les miennes, et je lui souris.

- En l'espace d'un instant, tu es devenue importante pour moi. Je veux que tu le restes ...

Je ne comprends pas ce que tu me racontes. C’est vrais quoi, pourquoi est ce que je partirais de cher moi ? C’est la pire chose qu e l’on pourrais lui faire ? Que fait t’il de son frère ? Je ne comprends pas… Je ne suis qu’un reine succube et une prostituer mais il continue avoir rester la… Il en comprend donc pas que je pourrais le tuer un n’importe quelle moment ? Mon pouvoir me brûle les mains… La chaleur qui s’en dégage me donne envie de te manipuler. J’ai envie de m’inséré dans ton cerveau savoir ce que tu pense réellement. Connaître les questions que tu te poses.
Je te regard droit dans les yeux alors que les miens change de couleur. Il devienne rose. Mon pouvoir ce dévers en moi et j’ai peur de ne plus me contrôler la mort me prend au ventre j’ai faim. Je me rapproche de toi mes lèvres près de toi et je te regard avec envie.

- J’ai faim….

Je me rende conte de ce que je m’apprête a faire et je me recule, je doit me nourrir avant de faire une bétis… Mais j’ai envie de rester avec toi…. J’ai envie de me blottir contre toi, sentir ton corps contre le miens. Ou même en moi… je te veux toi.

- Je suis importante ? Comment… je ne comprends pas…

La jeune femme hésite à venir vers moi. Elle est en plein débat intérieur apparemment, je ne comprends pas trop ce qu'il se passe. Elle se bat contre elle même apparemment. Elle se rapproche, aussitôt, elle s'éloigne. Elle veut être près de moi mais en même temps, on dirait que quelque chose lui fait peur. je ne sais pas si je dois me rapprocher ou non. Je reste donc sur place, la regardant faire une sorte de chorégraphie étrange.

- Oui, tu l'es. Tu es une femme ( En cours )