Je m’observe dans mon miroir alors que je suis accoudé à ma coiffeuse, mon maquillage à couler alors que je venais de finir mon job. J’ai pris du plaisir avec un beau et tendre jeune homme mes fille son entrain de le corps sans vie de mon lit et s’occupe de le faire disparaître.
Je me lève et partie prendre une douche, je me lève et ressort rapidement, a quoi bon bien me laver alors que dans 5 petite minutes je serai en action pour beaucoup de plaisir. J’aime mon travail et déteste mon passer. Ce que je suis bien maintenant que je suis ici.
Je sors de la salle de bain nue, je me rassoie devant ma coiffeuse et me maquille bien bien, trop bien, magnifiquement bien. Je me coiffe aussi histoire d’avoir ne belle coiffure pour quelle les homme puis si attarder et si attacher. Je me lève et me dirige vert mon dressing. Il n’y a que des tous petits bouts de tissue. J’enfile un string, des bats et un porte jartelle. Le soutient gorge va de soit avec l’ensemble. Au tien un petit chapeau je met les barète et m’admire je suis parfaite. Sexy et une bombe sexuel il ne me faux rien d ‘autre. Je m’habille comme ça tout les jours le matin e midi le soir et pour sortir aussi. Je suis maîtresse de maison close ou non.
Une foi toute prête je sort de ma chambre et arrive directement dans le hall d’entrer.

- Aller les fille ouvre moi cet porte que le monde rentre et que l’on prenne du plaisir !

Je venais de rentrer chez moi dans mon squatte avec Angel qui filait prendre une douche après une nuit de folie comme on venait de passer avec tuerie à la clé comme à mon habitude toutes les nuits. Je suis devenue une machine à tuer enfin surtout ses maudits mafieux qui me pourrissent la vie et mon oxygène je voudrais tous les voir mort. Je regardais par la fenêtre et vit un loup de ma meute arrivait ce qui me fit sourire et lui ouvrit la porte avant qu'il ne toque faisant un bond en arrière surpris de l'avoir vu. Il me donnait une lettre avec mon nom dessus. Je la pris en remerciant le loup en lui caressant la tête et rentrait m'asseyant dans le canapé en velours rouge foncé. J'ouvris la lettre ne voyant aucun expéditeur puis mon cœur s'arrêtait de battre en voyant l'écriture d'April ma sœur. Je m'empressais de la lire et de sourire comme une conne en me levant criant à Angel que je revenais lui donnant pas d'autre explication. Je pris mon apparence de loup et courue dans les ruelles sombres en direction des maisons closes voulant à tous pris voir ma sœur et la prendre dans mes bras. Une fois arrivait je pris apparence humaine en me rhabillant mes affaires dans ma gueule en partant. Je vis une femme me sourire et me fis rentrer, je demandais de voir April, tout le monde était assez surprise que je l'appelais par son prénom. Je marchais le cœur battant avant de m'arrêter net et de la voir dans un canapé avec un homme assez beau :

« April c'est bien toi » le cœur battant la lettre dans les mains, une larme coulant le long de ma joue.

Je me relève de sur l’homme que je venais de vider de ces forces en aspirant qu’un bout de son âme. La voix d’une femme m’avait empêché de le tuer et je grognais déjà de frustration. Qui est celle qui me dérange. Il y a qu’une seule et unique personne qui me dérangé quand je mange et ce n’est pas elle.
Je me retourne donc légèrement énerver et je te voix. Toi. La fille que je n’avais pas envie de voire. Ma soit disant sœur qui m’avais promis de revenir me chercher mais qui n’est pas venue la soit disante sœur que j’ai attendue 2 ans en entier et qui n’est jamais venue des que j’ai eu 18 ans je suis partie j’en n’est pratiquement 200 maintenant.

- Qu’est ce que tu fais la ?

Je voulais que tu partes. Je fît un signe très discret a mes filles pour quelle ce tienne prêt a une futur attaque. Et te connaissait et je savais que tu étais devenue une personne meurtrière et que la plus par des mots qui son dans cette ville sont de ta faute et je détestais sa. Tu tuais des gens a la voler alors que j’en tuais une voire deux par jours. Et je sais aussi que tu me juges. Que pour toi je ne suis qu’une pute qui baisse pour payer ce palet. Je te détestais.

Te regarde gentiment, comment ne pas pleurer dans un moment pareil… Mes émotions ce mélange ainsi que les envie, la prendre dans mes bras, lui serait la main l’embrasser tendrement sur la joue. Je ne sais pas du tout quoi faire, en voyant les yeux de ma chère sœur cela ce voyais qu’elle ne me portait plus dans son cœur. Cela se comprend comment aimer une femme enfin une sœur qui ta laisser pendant des siècles sans savoir où elle était… Mais ce qu’elle s’est pas c’est que je suis revenue à la maison pour venir la chercher et on m’a dit que tu avais était chasser… Comment t’expliquer cela ? Cela me parait impossible. Je te regarde tous en souriant gentiment toujours le cœur battant à limite de s’arrêter. Je suis un monstre mais là je suis qu’une merde qu’on pouvait écraser s’il le voulait. Je continue de te regarder en voyant un homme nu partir en courant enfin je crois que je l’ai empêché de se nourrir

«  Pardon, je ne voulais pas te déranger » je sourie en déglutissant.

Je ne sais pas quoi faire ? Euh m’assoir ? Où ? Enfin ou partir ? Non je ne le  doit pas, je ne dois pas je dois lui donner une bonne explication. Mon cœur battait plus fort à m’en faire mal au poitrail. Je m’approche de toi tous doucement et entend tond qui était sec et mauvais. J’avale de nouveau ma salive en soupirant :

«  Je comprends que tu me haie, mais comment dire tu ne connais pas toute l’histoire April ? » en baissant la tête.

Moi baisser la tête… beh oui ses la seul personne pour qui je pourrais donner ma vie…